L’ART DU JEU D’ACTEUR

« La quasi-totalité des productions cinématographiques du monde ont été influencées par les films américains, qui étaient eux-mêmes influencés par les enseignements de Stella Adler. Nous sommes nombreux à l’adorer et nous lui devons beaucoup. »
Marlon Brando

Ce livre nous ouvre les portes de l’école de Stella Adler, l’une des professeures d’art dramatique les plus influentes du XXe siècle. Disciple de Constantin Stanislavski et membre fondatrice du célèbre Group Theatre, elle a formé des géants du cinéma, parmi lesquels Robert De Niro, Harvey Keitel, Nick Nolte, Warren Beatty… En 22 leçons, elle nous livre tous les secrets de sa technique et de son art.
Loin d’être un ouvrage théorique, L’Art du jeu d’acteur est conçu à partir d’enregistrements de ses cours et de carnets de notes compilés par le critique Howard Kissel. Il place directement le lecteur sur le banc des apprentis comédiens face à une femme au caractère flamboyant.

Préface de Marlon Brando.

SOMMAIRE :

LEÇON N°1 : PREMIERS PAS SUR SCÈNE

LEÇON N°2 : LE MONDE DE LA SCÈNE EST DIFFÉRENT DU VÔTRE

LEÇON N°3 : JOUER, C’EST ÊTRE DANS L’ACTION

LEÇON N°4 : L’ACTEUR DOIT ÊTRE FORT

LEÇON N°5 : DÉVELOPPEZ VOTRE IMAGINATION

LEÇON N°6 APPROPRIEZ-VOUS L’UNIVERS DE LA PIÈCE

LEÇON N°7 : APPRENEZ À MAÎTRISER LES MÉCANISMES DU JEU

LEÇON N°8 : APPRENEZ À RÉALISER DES ACTIONS

LEÇON N°9 : FAITES EN SORTE QUE CHAQUE ACTION SOIT RÉALISABLE

LEÇON N°10 : CONSTRUISEZ-VOUS UN RÉPERTOIRE D’ACTIONS

LEÇON N°11 : JUSTIFICATIONS IMMÉDIATES ET INTÉRIEURES

LEÇON N°12 : COMPLEXIFIEZ LES ACTIONS

LEÇON N°13 : DONNEZ DE L’ENVERGURE À VOS ACTIONS

LEÇON N°14 : COMPRENDRE LE TEXTE

LEÇON N°15 : LES TRAITS DE CARACTÈRE DU PERSONNAGE

LEÇON N°16 : S’HABILLER POUR UN RÔLE

LEÇON N°17 : APPRENDRE LE RYTHME DU PERSONNAGE

LEÇON N°18 : LES ACTEURS SONT DES ARISTOCRATES

LEÇON N°19 : DONNEZ CORPS À VOTRE COSTUME

LEÇON N°20 : L’ACTEUR EST UN GUERRIER

LEÇON N°21 : STANISLAVSKI ET LE NOUVEAU THÉÂTRE RÉALISTE

LEÇON N°22 : COMMENT REPRÉSENTER LES CLASSES SOCIALES SUR SCÈNE

POSTFACE DE HOWARD KISSEL